MA MÉTHODE

 

 

Évaluer la situation de départ et imaginer la future organisation avec le ou les collaborateurs.

Valoriser, faire prendre conscience , engager l'individu ou le collectif

 

Clarifier et fixer un objectif mesurable par des indicateurs concrets

communiquer, collaborer, partager une vision précise et claire

 

Décliner l'objectif en actions et effectuer des arbitrages nécessaires

Identifier les motivations, ressources et compétences en présence
Permettre aux équipes ou à la personne de produire leurs/ses propres solutions de se mettre en action

 

Créer des liens de coopération et de confiance

travail collaboratif, faciliter la prise de recul, l'analyse objective, stimuler la réflexion

 

Apporter des méthodes et des outils adaptés aux besoins

montée en compétences des individus

 

Développer l'autonomie

Appropriation de la méthode par des personnes pour trouver et construire leurs propres solutions face aux problématiques futures

 



MES OUTILS


L’ADVP : activation du développement vocationnel et professionnel

Nous entendons souvent dire “L’ADVP, c’est une méthode”, “c’est quatre phases“, comme si l’on ne retenait de l’ADVP que le processus de résolution de problèmes, présenté comme une sorte d’entonnoir, en quatre étapes : explorer (découvrir), cristalliser (comprendre), spécifier (hiérarchiser, choisir), réaliser (agir). Ceci est en partie juste. Cependant, si l’on en reste là, on passe à côté de l’essentiel : tout ce qui fait le sens et les finalités de l’approche, à savoir les postulats qui la sous-tendent, la pédagogie expérientielle fondée sur les principes de développement, la philosophie de l’existence, la pensée humaniste, les travaux de la psychodynamique du travail, la réflexion sur la posture et les attitudes du professionnel.

 

Au-delà de la méthode, de ses étapes, des tâches et des compétences qu’elle mobilise, l’ADVP s’inscrit dans une démarche éducative qui accorde une place capitale à l’expérience et à la pédagogie expérientielle. Elle se réfère aux travaux de Piaget1, Wallon2, Vygotski3 et à la philosophie de l’existence, pour qui l’individu n’est pas prédéterminé, mais se définit et se construit par l’action, ceci en relation avec son environnement. Elle postule que l’individu est capable de s’autodéterminer et de trouver lui-même, pour lui-même, en lui-même, les réponses à ses questions, pour peu qu’il soit accompagné dans cette réflexion. Elle situe le travail, non pas seulement comme un moyen de gagner sa vie, mais comme un moyen de se produire soi-même, comme un prolongement de son identité et comme une source de développement identitaire.

 

L’ADVP, une démarche comportementaliste ?

Démentons au passage cette autre idée reçue selon laquelle l’ADVP serait “comportementaliste”. A aucun moment, avec cette démarche, il ne s’agit de dicter le “bon comportement”, de répondre à des normes. Pour s’inscrire dans une démarche éducative, il importe de croire que le développement est possible, que l’intelligence se construit, que la pensée est productive, transformatrice, mobile, créative. Au-delà de l’acquisition de compétences à faire des choix, l’ADVP utilise cet espace qu’est la réflexion sur le projet pour ”activer” la construction de soi, développer sa personnalité et son rapport au monde.

 

L’action et l’expérience facilitent les apprentissages.

Une connaissance significative, c’est à dire qui diversifie et enrichit les façons de penser, qui transforme les représentations et la vision du monde, et par conséquent, les attitudes, résulte davantage d’une expérience personnelle que de conseils ou d’informations (aussi pertinents soient-ils) transmis de l’extérieur. La pédagogie expérientielle utilisée propose un engagement personnel. La personne toute entière s’implique, prend des initiatives, s’expose, se découvre. Mais personne d’autre qu’elle ne peut rendre compte de son expérience. En faisant les choses, elle comprend, donne du sens et l’intègre. Cela génère des changements (sans que ceux-ci soient guidés par l’extérieur) dans ses attitudes, sa manière de voir, sa personnalité. Avec les activités qui lui sont proposées, la personne s’autorise, petit à petit, à se reconnaître telle qu’elle est. Elle prend conscience d’un soi en évolution. En ce sens, l’ADVP est une invitation à s’inventer.

 

L’ADVP : une démarche développementale exigeante sur un plan pédagogique

L’art d’introduire une dimension expérientielle dans tout accompagnement ne relève pas de l’improvisation. Ne confondons pas pédagogie expérientielle et pédagogie “occupationnelle”. Dans une perspective développementale, le professionnel se doit de respecter les trois principes de base essentiels au progrès et au développement de l’individu (parfois oubliés dans l’approche) : faire vivre des expériences, aider à traiter et à donner un sens à ces expériences, faciliter l’intégration de ce sens.

Le développement est en effet vu comme une démarche dans laquelle l’individu explicite son expérience dans le but de se connaître, comprendre, intégrer et réaliser ses désirs, ses aspirations, ses valeurs, de telle sorte que sa vie ait du sens et qu’elle exprime son identité. Le développement n’a qu’une finalité : permettre au sujet d’être profondément qui il est. Pour “activer” ce développement, il ne s’agit pas d’occuper la personne ; l’expérience proposée par le professionnel doit présenter quelque intérêt, quelque signification pour l’individu, même si cet attrait n’est que sous-jacent, latent, susceptible de n’être dénoué que plus tard par l’action engagée. La probabilité que l’expérience contribue à réduire l’incertitude dans laquelle se trouve le sujet, qu’elle annonce un effet bienfaisant pour lui, fait accepter la situation. Une relation sujet-accompagnateur bien établie, sur une base de réciprocité et de transparence aide à cela.

 

Être centré sur la personne

Être centré sur la personne exige du professionnel qu’il adapte, à tout moment, à chaque personne, à chaque groupe, les mises en situation qu’il va proposer. Ce qui suppose d’être à l’écoute, réactif, précis sur les travaux choisis, directif sur la manière de les proposer, puis empathique, respectueux lorsqu’il s’agit de leur traitement et de leur intégration (cf. La relation d’aide selon Carl Rogers4). C’est dans le respect de ces fondamentaux de la démarche éducative expérientielle qu’ont été construits les parcours de certification du PATIO Formation. Il s’agit en effet, dans les premiers niveaux de ces parcours, de vivre et d’expérimenter pour soi la pédagogie et ses outils, en toute tranquillité, de manière à bien comprendre cette démarche et ses effets. L’ADVP ne s’enseigne pas ; c’est un processus à vivre. Puis dans les deuxièmes niveaux de chaque parcours, dans un cadre sécurisant, il est question de faire, d’utiliser, de s’entraîner face à des pairs, afin de gagner en aisance, en sécurité et en compétences. Le troisième niveau permet d’acquérir créativité et souplesse dans l’utilisation, quel que soit le contexte.


 

Les pratiques narratives

L’approche narrative est née dans les années 1980 de l’expérience terrain et des travaux de Michaël White, travailleur social australien et David Epston, sociologue et anthropologue néo-zélandais. Sur ces terres australes, ces deux personnalités anti- conformistes ont été inspirées à la fois par la systémie venant de Palo Alto et notamment la thérapie familiale, par la diffusion des idées poststructuralistes portées par des philosophes français mais aussi par des influences anthropologiques et sociales issues des mouvements contestataires des années 70. Cette approche connaît depuis quelques années un fort développement dans divers champs de la relation d’aide que ce soit le coaching en entreprise, la thérapie, l’accompagnement du changement dans les organisations, le travail social ou la médiation.

Les Pratiques narratives se fondent sur l’idée forte que nous définissons notre identité à travers les histoires que nous racontons sur nous-mêmes, notre famille, notre culture, notre milieu social ou professionnel, en résonance à des discours dominants qui influencent notre vision du monde. Alors que certaines histoires nous libèrent, d’autres nous enferment dans une identité étroite. Aussi sommes-nous empêtré.e.s dans des histoires multiples, mais vient un moment où nous pouvons faire le choix de reprendre notre histoire en mains et devenir auteur de notre vie. En ouvrant notre regard et en affinant notre écoute, par la multiplicité des points de vue, nous pouvons donner un sens nouveau à la trame des événements et des circonstances qui tissent notre histoire. L’expression de notre liberté se niche dans cet intervalle entre la réalité extérieure et notre interprétation de la réalité. Au cours des séances, le praticien narratif va mener un travail d’enquête et d’investigation sur les récits de vie au travers de questions ouvertes et puissantes qui permettront à la personne de prendre de la distance sur son histoire (telle que racontée) et de tisser les fils d’une nouvelle narration, d’une « histoire préférée » plus proche de ses talents, de ses rêves, de ses engagements et de ses valeurs. Ce travail en profondeur sur le sens et le lien permet d’insuffler un nouvel élan et d’ouvrir de nouvelles possibilités d’actions.


 

 

 

 


POUR PLUS D’INFORMATION REMPLIR LE FORMULAIRE - accéder au formulaire

 

 

 


Coaching de vie

parental, scolaire
et professionnel

 

 

 

A2L orientation
Coaching de vie
Coaching parental
Coaching scolaire
Coaching professionnel
Développement personnel
Orléans

 

Qui suis-je ?

Mes activités

Ma méthode

Témoignages

Me contacter

Mentions légales

 

 

 

 

Pour contacter A2L Orientation

 

merci de nous adressez un email ici

ou contactez-nous par téléphone

 

Céline Dupont

5, venelle de la pilonnerie

45000 Orléans

06.02.31.27.14

contact@a2lorientation.fr

Nous joindre sur Facebook